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Météo : les prévisions pour ce dimanche

defimedia — Sun, 23 Jun 2024 03:06:01 +0000

Météo : les prévisions pour ce dimanche defimedia dim 23/06/2024 - 07:06

L'anticyclone situé près du sud des Mascareignes maintient un courant d'air modéré et relativement froid sur notre région. Par ailleurs, des nuages venant du sud-est influencent le temps local, indique la station météo dans son bulletin émis ce dimanche.

Des périodes nuageuses sont attendues ce matin et en début d'après-midi, surtout à l'Est, au Sud et sur le plateau central, avec des pluies intermittentes. Ces pluies pourraient être parfois modérées. Le temps s'améliorera graduellement au cours de l'après-midi.

Des poches de brouillard seront présentes dans certains endroits ce matin.

La température maximale variera entre 19 et 22 degrés Celsius sur le plateau central et entre 24 et 27 degrés Celsius sur le littoral.

Le ciel sera mi-couvert durant la nuit avec des ondées sur les hauteurs.

La température minimale variera entre 15 et 18 degrés Celsius sur le plateau central et entre 20 et 22 degrés Celsius dans les régions côtières.

Le vent soufflera de l'est-sud-est à environ 30 km/h avec des rafales de l'ordre de 55 km/h.

La mer est forte au-delà des récifs avec des vagues de l'ordre de 2,5 mètres. Les sorties en haute mer sont déconseillées.

Voici la Une de Le Dimanche/L'Hebdo de ce Dimanche 23 Juin 2024

defimedia — Sun, 23 Jun 2024 01:00:00 +0000

Voici la Une de Le Dimanche/L'Hebdo de ce Dimanche 23 Juin 2024 defimedia dim 23/06/2024 - 05:00

📰 Voici la Une de Le Dimanche/L'Hebdo. Le journal est en vente à Rs 20 l'exemplaire aux endroits habituels (supermarchés, boutiques, tabagies, superettes). Bonne lecture !

INFO SOIREE : Une fillette de 3 ans mordue par un Rottweiler en allant à la boutique avec sa sœur

defimedia — Sat, 22 Jun 2024 17:06:23 +0000

INFO SOIREE : Une fillette de 3 ans mordue par un Rottweiler en allant à la boutique avec sa sœur defimedia sam 22/06/2024 - 21:06

- Une fillette de 3 ans mordue par un Rottweiler à Résidence la Cure. Admise à l’hôpital Jeetoo, l’enfant a été placée sous observation. Vous entendrez le témoignage de son père.

- De l’ecstasy, du papier à rouler et des graines de cannabis saisis sur deux Nigérians à l’aéroport hier. Ils ont été arrêtés à leur descente d’avion. Traduit devant la justice ils ont été reconduit en cellule policière.

- La majorité gouvernementale déplore l’absence de plusieurs membres de l’opposition lors du Committee of Supply et des débats budgétaires. Une « opportunité » manquée d’obtenir des éclaircissements sur diverses mesures budgétaires selon Kailesh Jagutpal.

- La circulaire émise dans le cadre de la célébration de la Journée des Nations Unies pour la fonction publique fait l’objet de critique de l’opposition. Navin Ramgoolam dénonce une « politisation à outrance » de la fonction publique. L’ancien premier ministre parle d’une manœuvre dangereuse.

- Nos réservoirs affichent bonne mine avec un taux de remplissage global de 94 pourcent comparé à 91 % à la même période l’année dernière. La Nicolière, est rempli à 100 pourcent. Midlands Dam et Bagatelle Dam rempli à de 99 %.

- A l’étranger : Trois personnes portées disparues en Suisse après des inondations

Objection à leur mariage civil : le futur marié - «Nos vêtements, le gâteau, tout était déjà prêt»

Defi Plus — Sat, 22 Jun 2024 16:00:00 +0000

Objection à leur mariage civil : le futur marié - «Nos vêtements, le gâteau, tout était déjà prêt» Defi Plus sam 22/06/2024 - 20:00

En couple depuis quatre ans, le futur marié âgé de 26 ans et sa fiancée âgée de 31 ans s’apprêtaient à célébrer leur mariage civil cette semaine. Depuis le 24 mai, ils avaient déposé leur demande pour célébrer leur mariage civil le mardi 18 juin. Mais ils ont été déçus. La cérémonie était prévue le mardi 18 juin à 10 heures. Ce couple avait déjà planifié que cette journée. « Cette date du 18 juin avait aussi toute son importance pour nous. Nos vêtements étaient prêts. On avait prévu un partage de gâteaux et aussi un déjeuner en tête-à-tête en amoureux. On avait également pris quelques jours de congé dans le sillage de ce mariage civil », confie cet homme au Défi Plus. Mais la veille, c’est le choc pour eux. Il reçoit un appel téléphonique du bureau de l’état civil de Quatre-Bornes. À l’autre bout du fil, un préposé l’informe : « Zot pa pou kapav marye, ena enn obzeksion ». Il voulait en savoir plus sur l’identité de la personne qui désapprouvait leur union. Le préposé du bureau de l’état civil lui a dit qu’il serait convoqué par un comité pour statuer sur cette objection. Ce couple dit vivre un véritable stress après ce refus du bureau de l’état civil de procéder à leur mariage. « On est très frustrés. N’importe qui ne peut pas se manifester pour s'opposer à un tel événement », avance ce futur marié au Défi Plus. Le mardi 18 juin, il a fait enregistrer un « Precautionary Measure » au poste de police de la rue Pope Hennessy. l. Il précise que ni lui ni sa petite amie n’ont déjà contracté un mariage civil.

Le bureau de l’état civil explique que toutes les demandes de mariage civil sont publiées sur le « Notice Board » du bureau. Et en cas d’objection, la cérémonie du mariage est annulée et un panel se prononce sur le cas.

Grande-Pointe-aux-Piments : violée sur une plage, une femme de 53 ans finit à l’hôpital

Defi Plus — Sat, 22 Jun 2024 15:30:00 +0000

Grande-Pointe-aux-Piments : violée sur une plage, une femme de 53 ans finit à l’hôpital Defi Plus sam 22/06/2024 - 19:30

Véritable cauchemar vécu par une habitante d’un village côtier du Nord dans la soirée du lundi 17 juin 2024. Cette femme de 53 ans a été violée sur la plage publique de Grande-Pointe-aux-Piments. Son agresseur a été arrêté mercredi puis traduit en justice. Il s’agit d’un dénommé Reaz N., âgé de 24 ans. Il rejette toute implication.

C’est à 23 h 45 que le poste de police de Trou-aux-Biches reçoit l’alerte qu’une femme est en situation de détresse sur la plage publique de Grande-Pointe-aux-Piments. Dès que les agents arrivent sur les lieux, ils la prennent en charge. Elle leur dit qu’elle a été violée.

Dans sa déposition, elle explique qu’elle était assise seule sur la plage quand un individu, habitant Pointe-aux-Piments, s’est approché d’elle. Elle ajoute qu’il l’a l’immobilisée. Puis il l’a traînée de force dans un coin. Il a placé sa main sur sa bouche avant de la violer. Une fois son forfait commis, il a pris la fuite.

Souffrante et traumatisée, la quinquagénaire a dû être hospitalisée. La Criminal Investigation Division de Trou-aux-Biches, saisie de l’enquête, a pu remonter jusqu’au présumé violeur. Le mercredi 19 juin 2024, lors d’une descente à Grande-Pointe-aux-Piments, les limiers ont arrêté le dénommé Reaz N.

Il a été positivement identifié par la victime. Soumis à un interrogatoire, il a rejeté toute implication dans ce cas d’agression sexuelle. Il a comparu devant le tribunal de Rivière-du-Rempart. Il a été provisoirement inculpé de viol. Il demeure en cellule policière.

La CID de Trou-aux-Biches approfondit ses investigations. Elle souhaite des précisions par rapport aux incohérences qu’elle aurait décelées dans la version fournie par la survivante. La police attend une amélioration de l’état de santé de la quinquagénaire et sa sortie de l’hôpital pour avoir des éclaircissements sur les circonstances du viol.

Fratricide à Plaine-des-Papayes : Visham Busgeeth, 41 ans, victime de la folie meurtrière de son frère

Defi Plus — Sat, 22 Jun 2024 15:00:00 +0000

Fratricide à Plaine-des-Papayes : Visham Busgeeth, 41 ans, victime de la folie meurtrière de son frère Defi Plus sam 22/06/2024 - 19:00

Visham Busgeeth, âgé de 41 ans, a connu une fin horrible. Vivant avec son frère Ravi, de deux ans son cadet, les deux avaient souvent des disputes. Leurs querelles constantes étaient connues du voisinage, qui a dû intervenir et même alerter la police en quelques occasions. Après un moment d’accalmie, toutefois, les discussions reprenaient de plus belle.

Le mercredi 19 juin, la situation a échappé à tout contrôle. Visham, accusant son frère du vol de son cellulaire, lui aurait ordonné de le lui rendre. Le ton est monté et, dans un accès de colère, le jeune frère s’est emparé d’une brique et a asséné le quadragénaire de plusieurs coups. La victime a perdu connaissance. C’est alors que son frère a pris un matelas, l’a posé dessus, l’a aspergé de diesel et y a mis le feu. Visham Busgeeth est mort à la suite des brûlures excessives.

Ce drame a bouleversé le quartier où vivent les frères Busgeeth. Ils sont issus d’une fratrie de quatre enfants, deux frères et deux sœurs. Visham aurait pu connaître un autre destin. « Jeune, il a eu l’opportunité de se rendre en Italie », explique un voisin de la victime. « Il a effectué des démarches pour qu’une de ses sœurs vienne le rejoindre à l’époque. Elle s’est rendue sur place, a rencontré quelqu’un, s’est mariée et s’est installée en Italie », dit Akilesh, un ami d’enfance des deux frères.

Mais il y a peu, Visham est revenu sur l’île pour être auprès de ses parents. « Son frère Ravi, qui est surveillant dans un collège, a sombré dans l’alcool. Il a commencé à tout vendre dans la maison », raconte Akilesh. Une situation que son aîné ne pouvait tolérer une fois de retour au pays, d’autant plus que leurs parents étaient souffrants. « Il y a environ un an, Visham est revenu et les disputes ont débuté avec son frère. Il prenait tout dans leur maison et les revendait.

Il y avait un auvent devant l’entrée de la maison, Ravi l’a enlevé et revendu », ajoute un autre voisin qui assistait régulièrement aux prises de bec des deux frères.

Visham exerçait comme maçon. « Il travaillait et faisait des achats pour la maison, mais son frère les prenait et les revendait pour s’acheter à boire », explique le voisin. Le malheur a frappé avec les décès de leurs parents. « Leur père, qui était malade, est mort et quelque temps après, au cours de la même année, c’est leur mère qui est décédée », poursuit-il. Les deux frères, célibataires, se sont retrouvés livrés à eux-mêmes dans la maison familiale.

Ils se disputaient souvent certes, mais il y avait aussi des moments où ils mettaient leurs différends de côté, mais seulement pour un moment. « Ou kav trouv zot bien ansam la. Zot al bwar tou ansam. Apre ener tan, ou tann zot rekomanse diskite, kan zot inn sou», confie un autre habitant du quartier.

Akilesh se rappelle qu’il y a quelques jours, les deux frères étaient venus chez lui. « Ils n’avaient plus de télévision et, le temps d’un match de football, ils étaient à la maison pour suivre la rencontre. Après, ils sont retournés chez eux. Au bout de quelques heures, nous les avons entendus commencer à se disputer. Après la mort de leurs parents, les disputes étaient devenues beaucoup plus fréquentes », se désole le jeune homme.

Le dimanche 16 juin dernier, Visham a constaté que son cellulaire, qu’il venait d’acheter, n’était plus sur la table de la cuisine où il l’avait laissé la veille. Il a cherché sans succès. Il suspectait son frère Ravi de l’avoir volé. Il s’était alors rendu au poste de police de Plaine-des-Papayes pour signaler cette disparition suspecte et avait émis ses soupçons que son frère Ravi en serait l’auteur. Ce dernier avait alors été interpellé. Une fois de retour à la maison, les querelles ont repris concernant le vol du portable.

« Ils se disputaient et on pouvait entendre Visham lui dire de lui rendre son portable. Il disait à son frère : "Regarde comment tu vas faire pour me rendre ce portable que tu as volé" », relate-t-on. Mercredi, les choses ont dégénéré. « Depuis tôt le matin, ils se criaient dessus à cause de ce portable. Ils étaient déjà éméchés. Je suis allé les voir pour leur dire de se calmer car mon père est malade », poursuit Akilesh. Après avoir parlé aux frères ce matin-là, il est parti au travail. Le drame s’est produit en début de soirée. Le plus jeune des frères, pris d’une folie meurtrière, a fini par commettre l’irréparable. Il a immolé Visham après l’avoir aspergé de diesel. « C’est lui-même qui est venu devant notre porte pour nous informer que son frère est mort brûlé », dit-il. Avec ses proches, ils se sont précipités à l’arrière de la maison et ont fait une découverte effroyable. Ils ont retrouvé Visham calciné.

La police a procédé à l’arrestation du frère de la victime. Il est vite passé aux aveux face aux limiers de la CID de Pamplemousses, dirigée par le SI Seeparsand. Les funérailles de la victime ont eu lieu jeudi après-midi.

Congrès du Reform Party à Belle-Rose

defimedia — Sat, 22 Jun 2024 14:54:54 +0000

Congrès du Reform Party à Belle-Rose defimedia sam 22/06/2024 - 18:54

Roshi Bhadain est retourné dans la circonscription où il avait été élu aux législatives de 2014 sous la bannière de l'alliance Lepep. Son parti, le Reform Party, a tenu un congrès à Belle-Rose, dans la circonscription no 18 (Belle-Rose/Quatre-Bornes) ce samedi.

Résidence La Cure: une fillette de 3 ans mordue par un Rottweiler

defimedia — Sat, 22 Jun 2024 14:42:07 +0000

Résidence La Cure: une fillette de 3 ans mordue par un Rottweiler defimedia sam 22/06/2024 - 18:42

Une fillette de 3 ans aurait été mordue par un Rottweiler. Les faits se sont produits hier.

Selon le père de la victime, sa fille se trouvait chez un voisin. Vers 18 heures, un certain Bryan est venu lui dire que sa fille avait été légèrement blessée pendant qu'elle jouait, puis il est reparti.

Le père affirme qu'au moment où il emmenait sa fille à l'hôpital, un autre voisin est venu lui dire que sa fille avait été mordue par le chien du dénommé Bryan.

Par la suite, Bryan a ramené son chien dans sa cour.

La fillette a été admise à l'hôpital Jeetoo et placée sous observation.

Une enquête a été initié

Orange SA (ex-France Telecom) pourrait vendre ses 40% détenus dans Mauritius Telecom

defimedia — Sat, 22 Jun 2024 14:31:54 +0000

Orange SA (ex-France Telecom) pourrait vendre ses 40% détenus dans Mauritius Telecom defimedia sam 22/06/2024 - 18:31

Après 24 ans de partenariat, Orange SA (ex-France Telecom) et Mauritius Telecom (MT) pourraient se séparer. La réflexion pour vendre sa part de 40 % détenue au sein de MT est engagée au niveau de l’opérateur français de télécommunications. Selon une information publiée par Bloomberg vendredi, Orange SA considère cette possibilité car "ces actifs ne sont plus considérés comme essentiels", selon des sources proches du dossier.

Si la décision est prise d’aller de l’avant, le premier intéressé pourrait être le gouvernement mauricien, avec qui des pourparlers pourraient avoir lieu pour le rachat de ces actions.

"La société française a discuté de son plan de sortie potentiel avec des conseillers", selon les sources qui ont demandé à ne pas être identifiées car l'information est confidentielle. Orange n’a pas encore engagé de discussions formelles avec le conseil d’administration de Mauritius Telecom concernant son intérêt pour un rachat d’actions, a indiqué l’une des sources. Une décision pourrait être prise en novembre, a déclaré une autre source, précise Bloomberg.

Si elle décide effectivement de vendre, Orange SA le fera très probablement au prix fort, MT étant le principal opérateur de télécommunications de Maurice et de la région. Le 14 juin dernier, MT a rendu public son chiffre d’affaires pour l’année financière 2023/24 qui est de Rs 12,7 milliards, soit une croissance de 11,2 % par rapport à l’année précédente. À titre comparatif, le groupe MT avait réalisé un chiffre d'affaires consolidé de Rs 3,6 milliards pendant l'exercice 1999-2000.

Toutefois, selon les sources de Bloomberg, "les délibérations sont à un stade précoce et Orange pourrait choisir de conserver les actifs plus longtemps".

Toujours selon Bloomberg, "la participation dans Mauritius Telecom est devenue moins stratégique pour l'opérateur français après que sa marque a été abandonnée et que les opérations ont été renommées My.T. La participation minoritaire d'Orange signifie également une influence moindre dans le pays".

Depuis le changement de gouvernement en décembre 2014, MT a opéré un virage à 180 degrés au niveau de son branding. Sous l’ère travailliste, Orange avait pris du galon. Le service de téléphonie mobile Cellplus avait été rebaptisé Orange, tout comme le service Internet, moyennant des royalties qu’elle devait reverser à France Telecom. MT se reposait aussi sur son partenaire minoritaire pour se fournir en équipements.

L’arrivée de Sherry Singh à la tête de MT en janvier 2015 a enclenché une "remauricianisation" des services et du branding, la marque Orange ayant été remplacée par My.T.

Le partenariat stratégique franco-mauricien avait été signé en novembre 2000 par le gouvernement MSM/MMM, venu au pouvoir le 11 septembre de la même année. Une partie du deal, qui a permis au gouvernement mauricien d’empocher Rs 7,3 milliards, avait déjà été discutée sous le gouvernement travailliste précédent.

France Telecom était passée par Rimcom Ltd pour acquérir ces 40 %. En 2004, France Telecom a elle-même été en partie privatisée avec l’État français descendant en dessous de la barre des 50 % d’actions.

Actuellement, l’État français détient 26,94 % d’actions. Le 1er juillet 2013, France Telecom change de nom pour devenir Orange S.A.

Actuellement, 40 % des parts de MT appartiennent à Rimcom Ltd, filiale d’Orange SA, 33,49 % au gouvernement de Maurice, et 19 % à SBM Holdings Ltd. Le National Pensions Fund détient 6,55 % des actions et les employés de MT ont pour leur part 0,96 % de parts de la compagnie entre leurs mains.

Sollicitée samedi par Le Dimanche/L’Hebdo, une source autorisée chez MT a indiqué que MT ne fera pas de commentaire pour le moment. Dans son article, Bloomberg souligne avoir sollicité Orange SA pour un commentaire, sans réponse.

Après avoir volé des cartes bancaires : un étudiant africain effectue des transactions sans contact à hauteur de Rs 7 300

Nasif Joomratty — Sat, 22 Jun 2024 14:30:00 +0000

Après avoir volé des cartes bancaires : un étudiant africain effectue des transactions sans contact à hauteur de Rs 7 300 Nasif Joomratty sam 22/06/2024 - 18:30

La CID de Pamplemousses a initié une enquête sur une affaire de fraude à travers des cartes bancaires. Elle fait suite à une plainte consignée le mardi 18 juin 2024 à la police de Pamplemousses par la victime, un jeune de 29 ans. Ce dernier a relaté que son portefeuille, contenant ses cartes bancaires, incluant une carte de crédit Platinum et une somme de Rs 700, a été volé dans la soirée du samedi 15 juin. Par la suite, il a eu la confirmation qu'une de ses cartes avait été utilisée dans divers magasins, principalement dans un centre commercial situé dans la région de Grand-Baie. Le présumé voleur a fait usage du « touch and pay » pour effectuer plusieurs transactions, soit un total de Rs 7 369 pendant les trois jours suivant la perte du porte-monnaie.

Dans la journée du mercredi 19 juin, l’équipe du Detective Superintendent of Police (DSP) Buchoo de la CID de Pamplemousses a procédé à l’interpellation d’un suspect. Il s’agit de John Mbuthia Kamau, un ressortissant kenyan, actuellement au pays comme étudiant. Vivant sur un campus à Pamplemousses, il a avoué avoir dérobé le porte-monnaie de la victime qui l’avait laissé sur le comptoir d’une station de service, dans le nord de l’île. Il a ensuite admis avoir fait plusieurs paiements sans contact avec une des cartes. Par la suite, toutefois, l’étudiant a expliqué aux enquêteurs de la CID de Pamplemousses qu’il comptait donner sa version des faits en présence d’un avocat. Entretemps, il a été placé en détention après une inculpation provisoire de vol devant le tribunal de Mapou.

« Near Field Communication »

La technologie NFC (Near Field Communication) permet le paiement sans contact.
Il s’agit d’un protocole de communication sans fil à courte portée.

Le paiement sans contact

Des ondes radio sont transmises à très courte distance entre la carte (le capteur) et le TPE (terminal de paiement - le récepteur).
Le lecteur du TPE communique avec la puce NFC à l’intérieur de la carte.
Des données sont échangées à distance.
Le montant du paiement est transmis à la banque concernée tout en fournissant le compte bénéficiaire pour que ce dernier reçoive l’argent.
Toutes les données sont échangées par le biais d'ondes radio, en seulement quelques secondes (3 à 4 secondes) et à quelques centimètres (de 0 à 4 maximum).
L’utilisation se fait uniquement en rapprochant la carte de l’appareil récepteur de paiement.