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Sept Cascades : porté disparu, un homme de 67 ans retrouvé mort

defimedia — Thu, 20 Jun 2024 11:12:30 +0000

Sept Cascades : porté disparu, un homme de 67 ans retrouvé mort defimedia jeu 20/06/2024 - 15:12

Un homme de 67 ans, porté disparu depuis mercredi à Vacoas, a été retrouvé mort. Ses proches avaient signalé sa disparition à la police. Le corps sans vie du sexagénaire a été découvert ce jeudi 20 juin au matin par une équipe de l’hélicoptère de la police survolant la région. Avec la collaboration des sapeurs-pompiers, le corps a été d'abord évacué par hélicoptère puis conduit à la morgue de l’hôpital Jawaharlal Nehru à Rose-Belle pour une autopsie. L’hélicoptère Chetak, avec à ses commandes l’ASP Boolaky, le DASP Chadeea, le sergent Nundlool et le constable Marion, a réalisé une opération à risque pour récupérer le corps.

Polémique autour du ministre Ramano : la Chambre des Notaires estime que cette affaire pourrait « faire l'objet d'enquêtes »

defimedia — Thu, 20 Jun 2024 11:07:36 +0000

Polémique autour du ministre Ramano : la Chambre des Notaires estime que cette affaire pourrait « faire l'objet d'enquêtes » defimedia jeu 20/06/2024 - 15:07

Dans un communiqué émis, en ce jeudi, 20 juin, la Chambre des Notaires dit avoir pris connaissance des différents déclarations et articles de presse concernant l'honorable Kavydass Ramano.

La Chambre affirme qu’étant donné que cette situation pourrait faire l'objet d'enquêtes, elle se voit contrainte de ne faire aucun commentaire sur cette affaire spécifique.

La Chambre tient toutefois à préciser qu’elle prendra, toutes actions nécessaires, en toute impartialité, et dans les limites des pouvoirs qui lui sont conférés par les textes régissant la profession notariale.

Pour rappel, l'entête de l’étude notariale de Kavy Ramano a été utilisé dans des procédures administratives concernant une demande de permis EIA, alors qu'en tant que ministre de l'Environnement, il n'est plus censé opérer comme notaire.

Le ministre Kavydass Ramano avait émis un communiqué de presse mardi 4 juin, pour s’expliquer. Il y précise qu’il avait informé l’Association des Notaires dès sa nomination comme ministre de l’Environnement qu’il n’exerçait plus en tant que notaire à compter de cette date. Il ajoute dans son communiqué : « Aucune personne n’est autorisée à émettre des documents en mon nom en tant que notaire ».

Nouvelle taxe - Corporate Climate Responsibility Levy : l’exclusion du Global Business souhaitée

Fabrice Laretif — Thu, 20 Jun 2024 11:00:00 +0000

Nouvelle taxe - Corporate Climate Responsibility Levy : l’exclusion du Global Business souhaitée Fabrice Laretif jeu 20/06/2024 - 15:00

Les entreprises de Global Business seront-elles exemptées de la Corporate Climate Responsibility (CCR) Levy, comme c’est le cas pour la CSR (responsabilité sociale des entreprises) ? Le secteur financier mauricien est actuellement en suspens. Mais en attendant une réponse à cette question, les opérateurs évoquent les risques que cette taxe pourrait entraîner. Notamment au niveau de la compétitivité de la juridiction mauricienne, préviennent-ils.

En effet, l’introduction d’une nouvelle taxe sur la responsabilité climatique des entreprises, équivalente à 2 % des bénéfices d’une société dont le chiffre d’affaires est supérieur ou égal à Rs 50 millions, fait grincer des dents. C’est dans cette optique que Mauritius Finance a sollicité une réunion avec le ministre des Finances. Shamima Mallam-Hassam, présidente de l’organisme, explique que le but est d’avoir plus de clarifications à ce propos. « Nous travaillons avec le ministère des Finances et celui des Services financiers. Nous avons déjà fait part de nos préoccupations au ministre Bholah qui s’occupe des Services financiers. Concernant la CCR, comme c’est une taxe, cela concerne le ministère des Finances », avance-t-elle.

En effet, le mécanisme détaillé d’application et de calcul de la taxe CCR n’a pas encore été fourni. Sera-t-elle appliquée de la même manière que pour la CSR existante, qui est calculée à hauteur de 2 % du revenu imposable de l’année précédente d’une entreprise ?

Shahed Hoolash, Managing Director de Vistra, est d’avis que si les Global Business Companies tombent sous le coup de la CCR, ce sera problématique pour le secteur financier mauricien. « Les compétiteurs de Maurice, que sont les îles Caïmans ou Jersey, n’ont pas de taxe. Certaines entreprises n’ont rien contre le fait que leurs bénéfices comptables soient imposables à 15 %. Il y a également les bénéfices non-réalisés. Comment ceux-ci seront-ils imposables ? » demande-t-il.

Facteurs défavorables

La majorité des sociétés de Global Business brasseraient un chiffre d’affaires supérieur à Rs 50 millions. Une nouvelle taxe de 2 % représenterait un coût additionnel pour celles-ci. Shamima Mallam-Hassam craint que cela n’ait des conséquences. « Les entreprises de Global Business ont des options. Chacune d’entre elles analysera l’ampleur qu’une nouvelle taxe pourrait avoir », fait-elle comprendre. La CCR, si elle est appliquée aux entreprises de Global Business, ne fera que détériorer la compétitivité de la juridiction mauricienne.

La présidente de Mauritius Finance fait observer que le coût de faire des affaires à Maurice, qui tient notamment compte d’une hausse du coût de la conformité, n’est pas favorable au centre financier mauricien. D’où la nécessité, selon Shahed Hoolash, que des explications claires et rapides soient apportées par les autorités mauriciennes. Il faudrait, ajoute-t-il, éviter de créer un climat d’incertitude, au risque de voir les clients se tourner vers des juridictions où « tout est clair ».

Seegolam : «Nous interviendrons sur le marché des changes quand le besoin se fera sentir»

Fabrice Laretif — Thu, 20 Jun 2024 10:39:10 +0000

Seegolam : «Nous interviendrons sur le marché des changes quand le besoin se fera sentir» Fabrice Laretif jeu 20/06/2024 - 14:39

La Banque de Maurice accorde une grande considération au marché intérieur des changes. Le régulateur bancaire veille quotidiennement sur les opérations du marché des changes. C'est ce qu'a fait comprendre Harvesh Seegolam. Le gouverneur de la Banque de Maurice était au Meridien hotel ce 20 juin. Il participait à la partie protocolaire de l’atelier qui s'intitule “Digital Finance in Africa”, organisé par le Regional Centre of Excellence et l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

« Nous interviendrons sur le marché des changes quand le besoin se fera sentir », a-t-il répondu à une question de la presse. Le gouverneur de la BoM a souligné que les chiffres totaux de "FX inflows" en 2023 par rapport à 2019 démontrent que la situation retourne à la normale. Le niveau est plus ou moins le même, dit-il. « Les deux années de 2020 à 2022 ont été sujettes à des chocs. Cela a influencé les chiffres de devises entrants », a-t-il poursuivi. Néanmoins, Harvesh Seegolam assure que le début de cette année indique un retour progressif à la normale. Les recettes touristiques brutes pour l'année 2019 se chiffrent à Rs 64 milliards. Le montant s'est élevé à Rs 81,3 milliards pour l'exercice 2022-23.

Fabrice Larétif

Transition énergétique : Maurice se hisse à la 53e place mondiale

Christina Vilbrin — Thu, 20 Jun 2024 10:30:00 +0000

Transition énergétique : Maurice se hisse à la 53e place mondiale Christina Vilbrin jeu 20/06/2024 - 14:30

Maurice a gagné sept places dans le classement mondial de l’indice de transition énergétique. Au 60e rang l’an dernier, le pays s’est élevé à la 53e place cette année. C’est ce que relève le rapport du World Economic Forum intitulé « Favoriser une transition énergétique efficace » publié cette semaine.

Fratricide à Plaine-des-Papayes : le rapport de l’autopsie connu

defimedia — Thu, 20 Jun 2024 10:14:45 +0000

Fratricide à Plaine-des-Papayes : le rapport de l’autopsie connu defimedia jeu 20/06/2024 - 14:14

Visham Busgeeth est décédé à la suite d’un choc dû à des brûlures étendues. C’est ce qu’a conclu le rapport de l’autopsie, pratiquée par le médecin légiste, le Dr Prem Chamane. Le corps calciné de l’habitant de Plaine-des-Papayes, âgé de 41 ans, a été retrouvé dans sa cour dans la nuit du mercredi 19 juin. Il a été immolé par nul autre que son frère, Ravi Busgeeth, âgé de 39 ans. Ce dernier a été arrêté par la police. Selon nos recoupements, c’est une énième dispute qui a éclaté entre les deux frères hier qui s’est terminée en meurtre. Une histoire de téléphone portable serait à l’origine de ce drame. Ravi Busgeeth a agressé son frère à coups de brique à la tête. Visham s’est alors effondré

Le suspect a pris un matelas dans leur maison sur lequel il a ensuite placé le corps de son frère et l’a aspergé de diesel avant d’y mettre le feu. Il a pris la fuite par la suite. Alertés par l’incendie, les voisins sont intervenus et ont alerté les secours. Une heure plus tard, le suspect a été arrêté dans une cachette de la localité. Il est passé aux aveux lors de son interrogatoire.

Les deux frères vivaient seuls dans cette maison. Visham Busgeeth était retourné à Maurice après un séjour à l’étranger, tandis que le suspect travaille, lui, comme « Lab Attendant » dans un collège privé du nord. Il sera traduit ce jeudi devant le tribunal de Pamplemousses pour sa mise en inculpation provisoire.

Après un accident à Beau-Bassin il y a une semaine : Narainduth Chutoorgoon, 79 ans, rend l’âme en soins intensifs

Nasif Joomratty — Thu, 20 Jun 2024 10:00:00 +0000

Après un accident à Beau-Bassin il y a une semaine : Narainduth Chutoorgoon, 79 ans, rend l’âme en soins intensifs Nasif Joomratty jeu 20/06/2024 - 14:00

Les proches : « Malgré son âge, il était en forme »

Il a passé une semaine en soins intensifs. Dans la matinée du mardi 18 juin, Narainduth Chutoorgoon, 79 ans, a rendu l’âme sur son lit à l’hôpital Dr A.G. Jeetoo, Port-Louis. Il n’a pas survécu à ses blessures à la suite de son accident de la route à Beau-Bassin survenu sept jours plus tôt.

L’autopsie pratiquée mardi par le Dr Prem Chamane, Police Medical Officer (PMO), a attribué le décès de Narainduth Chutoorgoon à une hémorragie intracérébrale. Ses funérailles ont eu lieu hier, mercredi 19 juin, au crématoire de Chebel.

L’accident qui lui a coûté la vie s’est produit le mardi 11 juin. Cet habitant de Beau-Bassin, aussi appelé « Bhudha », marchait sur la route principale de la localité quand il a été renversé par un camion. Les policiers, alertés peu avant 13 heures, ont débarqué sur place où ils ont retrouvé un camion, conduit par Andy M., un habitant de Bois-Marchand âgé de 47 ans. Narainduth Chutoorgoon gisait sur l’asphalte, avec des blessures aux mains et à la tête. Dans un premier temps, il a été conduit en urgence vers la médiclinique de Coromandel, avant d’être transféré en soins intensifs de l’hôpital Dr A.G. Jeetoo.

Le chauffeur a été testé négatif à l’alcotest. Peu après l’accident, il a fourni sa version des faits à la police de Beau-Bassin. Toutefois, après le décès de la victime, il a été convoqué à nouveau par la police. Une accusation provisoire d’homicide involontaire a été retenue contre lui devant le tribunal de Rose-Hill, avant qu’il n’obtienne la liberté sous caution.

Un homme très actif

Chez les Chutoorgoon, à Beau-Bassin, mercredi, c’est la consternation. Après les derniers hommages lors des funérailles, les proches, toujours dans le flou concernant les circonstances de l’accident, attendent les conclusions de l’enquête de police.

Narainduth, confient-ils au Défi Quotidien, était un ancien fonctionnaire. À la retraite depuis plus d’une quinzaine d’années, il jouissait d’une bonne santé et condition physique, ajoute son gendre, Selven. D’ailleurs, il était très actif dans la vie quotidienne. En tant qu’ex-fonctionnaire, il était activement impliqué dans les syndicats de travailleurs. « Malgré son âge, il était en forme et faisait aussi du jogging », relate la famille.

Au moment du drame, Selven raconte que son beau-père s’apprêtait à se rendre dans un commerce du quartier pour acheter du pain pour le déjeuner du jour. Les Chutoorgoon pleurent la disparition d’un être jovial qui chérissait la vie familiale aux côtés de sa fille unique et de son petit-enfant.

Cache de cannabis à Rivière-Noire : deux suspects se constituent prisonniers

Defi Quotidien — Thu, 20 Jun 2024 09:30:00 +0000

Cache de cannabis à Rivière-Noire : deux suspects se constituent prisonniers Defi Quotidien jeu 20/06/2024 - 13:30

L’enquête de la Police Headquarters Special Striking Team progresse après la découverte d’un colis contenant de l’herbe de cannabis à La Gaulette, Rivière-Noire. Recherchés activement par la police, deux suspects à qui cette drogue serait destinée se sont constitués prisonniers aux Casernes centrales.

Le mardi 11 juin, Pierre Vivian L., âgé de 21 ans, un habitant de Petit-Verger, St-Pierre, et Marie Madelaine C, âgée de 41 ans, résidant à Baie-du-Cap, se sont présentés à l’Enquiry Panel de la PHQ SST. Ils ont été arrêtés et inculpés provisoirement de « Drug Dealing » devant le tribunal de district de Rivière-Noire, avant d’être reconduits en cellule policière. Ils devront expliquer aux hommes du surintendant Ashik Jagai la présence de ce colis de drogue dans cet appartement.

C’est le vendredi 7 juin dernier que les limiers de la PHQ SST avaient perquisitionné un appartement situé au Morcellement Petit Morne, La Gaulette. Sur place, trois sacs en plastique bourrés d’herbe de cannabis avaient été découverts. La valeur marchande de cette drogue, qui affichait 175 grammes au pesage, est estimée à Rs 525 000. Une balance électronique, soupçonnée d’être utilisée dans ce trafic de drogue, a aussi été saisie.

Les enquêteurs disposaient de renseignements indiquant que des individus occupant cet appartement seraient mêlés à des transactions de cannabis à des fins de distribution sur place. Mais lors de cette descente, l’appartement était inoccupé. La perquisition avait été effectuée en présence du propriétaire des lieux. Il avait déclaré avoir loué cet appartement à une dame, qui à son tour l’avait sous-loué à une tierce personne.

Axe réunion-maurice

La police poursuit ses investigations en vue de déterminer si cette quantité de cannabis proviendrait de l’axe Réunion-Maurice. L’herbe saisie a déjà été expédiée au Forensic Science Laboratory à des fins d’analyses. Depuis quelque temps, la région de Rivière-Noire et ses alentours intéressent la PHQ SST, car les policiers soupçonnent d’importants réseaux de trafic d’« or vert » dans cette partie de l’île.

Le 29 décembre dernier, cette même unité avait démantelé une importante cache de cannabis lors d’une perquisition sur un terrain boisé situé à Choisy, Baie-du-Cap. Sur place, sous une tente, plusieurs sacs de zamal pesant 20,95 kilos, estimés à Rs 60 millions, avaient été découverts ainsi qu’une balance électronique, deux fusils et des balles. À l’arrivée de la police, des présumés trafiquants de cannabis avaient fait feu en direction des limiers, mais aucun blessé n’avait été signalé. Les trafiquants avaient pris la fuite, mais par la suite, six d’entre eux ont pu être retracés et arrêtés.

Prison de Beau-Bassin : le feu éclate dans une cellule, un détenu hospitalisé

Defi Quotidien — Thu, 20 Jun 2024 09:00:00 +0000

Prison de Beau-Bassin : le feu éclate dans une cellule, un détenu hospitalisé Defi Quotidien jeu 20/06/2024 - 13:00

Le prisonnier déjà épinglé pour crime d’incendie

La police de Résidence Barkly enquête sur les circonstances dans lesquelles un détenu a subi des brûlures lors d’un incendie qui a éclaté dans sa cellule, à la prison de Beau-Bassin. Les faits se sont produits dans la soirée du lundi 17 juin. Les gardiens de prison ont donné l’alerte après avoir vu de la fumée émanant de la cellule de Jean Paul Meunier, incarcéré dans le cadre d’une affaire de trafic de drogue.

Lundi soir, lors d’une patrouille de routine dans les cellules, une équipe de gardiens a été alertée par une odeur de fumée. En se rapprochant de la cellule du prisonnier Meunier, les gardiens y ont vu une épaisse fumée. En ouvrant la cellule, ils ont découvert que Jean Paul Meunier avait les jambes en feu. Les gardiens ont aidé à circonscrire le feu avant de solliciter l’aide d’une ambulance pour le transférer vers l’hôpital Princess Margaret Orthopaedic Centre (PMOC) à Candos. Après les soins nécessaires, il a été admis à la Burns Unit.

Le Forensic Science Office (FSO), la police de Résidence Barkly et les photographes du Scene of Crime Office (Soco) ont déjà procédé à un examen des lieux dans la journée du mardi 18 juin. La priorité est de déterminer l’origine de cet incendie. La police compte enregistrer la version des gardiens de service dans la soirée du lundi 17 juin, dans cette partie de la prison.

L’enquête policière a été confiée aux hommes du chef inspecteur Rajesh Moorghen de la police de Résidence Barkly. À mercredi, les enquêteurs étaient dans l’attente des rapports scientifiques. L’audition du détenu devrait avoir lieu une fois l’aval des médecins obtenu. Son état de santé est jugé stable.

Pour rappel, en décembre 2021, Jean Paul Meunier avait été arrêté par l’Adsu dans le cadre d’un trafic de cannabis dans l’axe Maurice/Réunion. 56,1 kilos de zamal avaient été saisis et Jean Paul Meunier était parmi les suspects arrêtés par l’Adsu. Cet homme de 45 ans était soupçonné d’avoir agi comme skipper pour la bande de trafiquants. La compagne de Jean Paul Meunier avait également été arrêtée dans le sillage de cette enquête. Outre cette affaire, Jean Paul Meunier est fiché à la police pour des délits de vol, de possession d’objets volés, de séquestration et d’incendie criminel.

En décembre 2021, lors d’une fouille à son domicile à Grand-Baie, après son arrestation par l’Adsu, Jean Paul Meunier avait été épinglé pour possession de Mogadon. Cinq tablettes de ce produit psychotrope y avaient été découvertes. Il n’avait pu produire de prescription.

Affaire Vanessa Lagesse : deux experts médico-légaux appelés à décortiquer le rapport du professeur Christian Doutremepuich ce jeudi matin

shehzad — Thu, 20 Jun 2024 08:49:25 +0000

Affaire Vanessa Lagesse : deux experts médico-légaux appelés à décortiquer le rapport du professeur Christian Doutremepuich ce jeudi matin shehzad jeu 20/06/2024 - 12:49

Aux assises, ce jeudi matin, 20 juin, deux experts médico-légaux ont été appelés à décortiquer le rapport du professeur Christian Doutremepuich dans le procès contre Bernard Maigrot pour le meurtre de Vanessa Lagesse.

Les docteurs Susan Pope et Christophe Champod sont des témoins de la défense. Ils avaient été appelés dans le passé à témoigner dans des procès dans plusieurs pays concernant des rapports d’ADN.

Ils expliquent comment ils ont procédé avec des informations qui leur sont parvenues.