Janice Farman, qui aimait les enfants, avait adopté un bébé en 2007. Celui d’une fillette de 11 ans qui avait accouché d’un petit garçon. Elle ne voulait pas le garder, car elle avait été abusée sexuellement par son père.
Ayant appris ces faits de sa secrétaire, en août 2007, l’Écossaise, ex-directrice de Rogers Outsourcing Solutions, désirant devenir mère, a entamé les démarches pour rencontrer la jeune maman et sa famille. Après avoir appris qu’une demi-douzaine de jeunes femmes ont fait une requête similaire, elle était quelque peu désespérée. Elle n’a pu cacher sa joie quand elle a appris que la jeune maman souhaitait la rencontrer. « Thank God », avait déclaré l’Écossaise. Et en voyant le petit enfant, Janice ne cessait de répéter : « He’s a tiny, tiny baby ».
La mère biologique, accompagnée de sa propre mère, a finalement accepté de donner son enfant à Janice, rassurée que son bébé ne manquerait de rien. Avant que les procédures d’adoption ne soient complétées, Janice avait déjà tout acheté pour « son » enfant. La mère biologique devait expliquer qu’elle donnait l’enfant de son gré, car elle voulait poursuivre ses études et n’avait pas les moyens d’élever un enfant.
Après avoir appris le meurtre de Janice, la mère biologique s’est rendue à la Child Development Unit (CDU) pour rencontrer son enfant. Mais l’accès lui a été interdit.
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