L’émission « Grand Journal » du jeudi 18 août était axée sur les tests de fitness et les centres d’examens privés. Pour en débattre, plusieurs spécialistes ont été conviés sur le plateau de Radio Plus.
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En attendant l’adoption du projet de loi – qui rendra autonomes les centres d’examen privés –, c’est la National Transport Authority qui effectue les tests de fitness et encaisse les frais y relatifs. Le prix d’un test de fitness reste à Rs 400, en attendant l’adoption des nouveaux tarifs prévus dans le texte de loi. C’est ce qu’a indiqué Cyril Appajala, assistant commissaire à la NTA. Il était l’un des invités du Grand Journal de Radio Plus, animé par Abdoollah Eerally. Les autres invités sur le plateau étaient le Dr Revin Panray-Beeharry, consultant à l’Eastern Vehicles Examination Centre, Zaid Ameer, président de la Dealers in Imported Vehicles Association (DIVA) et l’ingénieur Selven Soobrayen.
Cafouillage le premier jour
Après les cafouillages du premier jour, la situation serait revenue à la normale à Auto check, centre de fitness privé de Plaine-Lauzun. Du côté de l’Eastern Vehicles Examination Centre, Revin Panray-Beeharry laisse entendre que tout s’est passé dans l’ordre, car tout a été bien planifié.
Selon les résultats des tests effectués, de nombreux véhicules connaissaient des problèmes de frein. Ils devront repasser le test. Pour les problèmes mineurs, les propriétaires auront l’occasion d’effectuer les réparations le jour même, et si les examinateurs sont satisfaits, ils recevront leur certificat.
Les examens techniques se feront visuellement et par des appareils sophistiqués. « C’est automatique et cela prendra un peu plus de temps », affirmé Cyril Appajala. « Quand les centres seront entièrement privatisés, un test prendra moins de temps avec un système entièrement informatisé. »
Il donne la garantie que les appareils sont dûment calibrés et qu’aucune manipulation par les examinateurs ne sera possible. Répondant à Zaid Ameer qui proposait que les opérateurs de centres de fitness déclarent leurs avoirs, le consultant de l’Eastern Vehicles Examination Centre n’est pas contre, mais il estime que c’est au régulateur – c’est-à-dire la NTA – de prendre cette décision.
« Aucun cas de corruption n’est possible, car les examinateurs ne décideront pas du résultat. Tout est décidé électroniquement. » Cyril Appajala précise que les centres privés n’opéreront pas « on their own completely », car des représentants de la NTA seront présents pour s’assurer qu’il n’y ait aucun cas de corruption.
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