Ken Arian, le président de l’Outsourcing Telecommunications Association of Mauritius (OTAM), a noué des liens étroits avec sa belle-mère depuis le décès de sa maman, il y a 17 ans. Aujourd’hui, il considère Savita Camiah comme sa mère de cœur.
Publicité
« Je dois dire que j’étais très proche de ma maman et depuis sa mort en 1997, il y a un grand vide dans ma vie. Bien des années après, j’ai rencontré ma femme et j’ai intégré ma belle famille. Par la suite, ma belle-mère s’est occupée de moi comme un fils. Cela s’est fait tout naturellement. D’ailleurs, je l’appelle “Mami”. »
Et si la relation entre les gendres et les belles-mères sont parfois tendues, pour lui, il n’en est rien. « En attendant la construction de notre maison, j’ai vécu chez ma belle-mère. Cela nous a permis de renforcer nos liens. Et depuis que nous avons emménagé dans notre nouvelle maison, nous faisons toujours de notre mieux pour la retenir le plus longtemps possible chez nous. »
C’est après la disparition de sa mère qu’il a réalisé l’importance de sa présence. « C’est seulement quand vous avez perdu une personne qui vous est chère que vous réalisez combien il est important de passer du temps avec ceux et celles qu’on aime et de chérir chaque instant. Mon père est toujours là et je l’aime. »
Et le jour de la fête des Mères, Ken Arian se fait toujours un devoir d’honorer les femmes de sa vie. « Toute la famille ira dîner au restaurant chinois préféré de “Mami”. Les femmes de ma vie auront un bouquet de fleurs, idem pour la tombe de ma maman. »
Et le cadeau de « Mami » ? « Quand on lui demande, elle dit tout le temps qu’elle n’a besoin de rien. Par contre, je sais que passer un week-end à l’hôtel lui fera très plaisir et on a prévu un week-end en juin avec toute la famille », fait-il ressortir.
Notre service WhatsApp. Vous êtes témoins d`un événement d`actualité ou d`une scène insolite? Envoyez-nous vos photos ou vidéos sur le 5 259 82 00 !